supported by 14 fans who also own “Ghâsh - Of Love”
On ne frappe pas un homme à terre : c'est ce que dit la règle mais NONE a déjà prouvé qu'il ne les suivait pas et si son album éponyme retirait toute perspective de béatitude spirituelle, Life has gone on long enough, son deuxième opus, nous interdit l'accès au bonheur terrestre. La vie n'a aucune substance et la production plus distante le confirme. Le DSBM s'empare de textures sonores blues, mettant en relief une dépression urbaine. Les cris partent en fumées : ne restent que les pleurs... Jordan Vauvert
supported by 13 fans who also own “Ghâsh - Of Love”
NONE a opéré un virage dans Where Life Should Be et ça se confirme davantage dans Damp Chill of Life. Le temps des métaphores est révolu : l'humidité froide, c'est celle des larmes qui coulent sur le visage à cause de la dépression. Tout pleure dans cet album : les guitares typées DSBM grésillent, les solos ("The Damp Chill of Life", "It's Painless To Let Go") sont liquides et coulent, les voix prennent à la gorge ; même le piano, étranglé par les sanglots ("Cease"), est aphone. Insoutenable... Jordan Vauvert
supported by 13 fans who also own “Ghâsh - Of Love”
After listening to Ysyry Mollvün, listening to Downfall of Nur was urgent and turned out to be one of the best decisions I have made in quite some time: Umbras de Barbagia is simply magisterial; the atmosphere can hardly be compared to anything else. There is a deep, palpable connection to nature imbueing each very fibre of this record. The amalgamation of black metal and folk elements is done with a high intuition for detail and class, resulting in a highly immersive experience. Wonderful. David Fischer