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De l'action de descendre sciemment vers le néant au constat simple, lancé dans un dernier soupir, comme si on était mis devant le fait accompli : There is no beauty left here...
Mais contre toute attente, ce chant du cygne d'Exiled from Light n'est pas une acceptation résignée de la mort. Mort (je parle de l'artiste) est animé de l'énergie du désespoir, cette énergie qui fait accomplir des choses extraordinaires quand tout est perdu et ça rend son DSBM très beau, paradoxalement. Indispensable !! Jordan Vauvert
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Après un Through Twilight... passable, Mort crée Descending Further into Nothingness sous le patronyme d'Exiled from Light, un album de DSBM lancinant aux atmosphères spectrales bien meilleur. Malgré tout, le démon de la stagnation continue de le harceler : la batterie est le grand point fort mais certains schémas se répètent et, couplés aux riffs minimalistes, ils empêchent certaines pistes de se distinguer l'une de l'autre. Le début est un peu long mais cet album en vaut vraiment la peine ! Jordan Vauvert
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Si "enfant" vient du latin "infans" ou "[celui] qui ne parle pas", alors The Grand Contraction, deuxième opus de The Foetal Mind, est un vrai retour en enfance : mis à part "Big Crunch", toutes les pistes sont instrumentales. Par ailleurs, le quartette français joue tout avec ce qui lui passe sous la main, il prend des risques en oubliant la peur de trébucher : en plus du doom metal, il combine metal classique avec black metal atmosphérique et blackgaze avec un talent assez unique. Audacieux ! Jordan Vauvert
Crushing blackened doom from this German band that counterbalances blinding fury with moments of surprising, melancholy melody. Bandcamp New & Notable Jul 8, 2023
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Atten Ash ne précise pas la couleur du sablier qui fait l'objet de son premier album : à mon avis, il doit être bleu parce que The Hourglass fait remonter le temps. Le trio américain rend un hommage plus qu'évident au death/doom metal mélodique des années 90. Bien que vigoureux ("See You...Never"), les riffs n'en sont pas moins émouvant, flirtant parfois avec une atmosphère funéraire ("Song for the Dead", "First Day") sans jamais tomber dans le pathos facile. Les solos sont extraordinaires ! Jordan Vauvert